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Question à michael

 
 
Dans cette rubrique 2 interview differente les 2 sont très drole prenez le temps de les regarder 
 
Qu'est-ce qui vous met de bonne humeur ? 
Belinda de Claude François et Les petits pains au chocolat de Joe Dassin. La neige à Paris parce que la montagne, je déteste. Une bonne bataille de polochon avec ma chérie ; bien m'amuser avec mes potes : je suis un être humain assez simple et sain en fait.  
 
1/Le monde s'arrête dans 5 min, que faites-vous ? 
Façon réponse bateau : je réunis tous mes proches, nous faisons une ronde et chantons tout l'amour qu'on a les uns pour les autres. En fait, je crois que je partirais en vrille. J'essaierais des trucs que je n'ai pas encore essayés. Je demanderais à me faire sodomiser pour ne pas mourir con, j'essaierais un airbag contre un mur, j'insulterais un agent…  
 
Le truc original que vous savez faire ? 
Le lézard ! [Mime à l'appui : il me tire la langue en écarquillant les yeux]. Sinon, je sais toucher le bout de mon nez avec ma langue. Mais bon, j'ai un grand nez et une grande langue ! Je sais aussi faire des cascades : descendre des escaliers sur le dos, me faire vomir sans avoir mal…  
 
Votre rêve de carrière le plus fou ? 
Obtenir un Oscar ! Non, présenter la soirée des Oscars en français en étant en même temps, nommé et l'avoir ! Avec en prime l'Oscar de la meilleure actrice pour ma chérie !  
 
plus grande cause à défendre ? 
Ça fait toujours con de le dire, mais c'est clair, la misère sous toutes ses formes : intellectuelle, culturelle, de nos rues à Paris jusqu'au continent africain…  
 
cole, bon ou mauvais souvenir ? 
Un bon souvenir, j'adorais l'école. J'étais toujours le 1er en classe mais extrêmement dissipé : je me faisais souvent renvoyé. Ce qui ne m'a pas empêché d'aller jusqu'à bac 5 et de décrocher un master en Management Marketing. L'école, c'est super peinard en fait. Pas de responsabilité, pas de mise en danger : t'as qu'à bosser dans les bouquins et pour le reste, tu fais ce que tu veux…  
 
Votre plus grande crainte? 
De perdre la voix. Je travaille beaucoup dessus. C'est mon outil de travail… Et puis sinon de me retrouver sur scène, la braguette ouverte ! Je vérifie toujours… Le début de la sagesse, je crois.  
 
La partie de votre corp que vous préferez? 
Mes yeux ! ! C'est là que tout se passe !  

 
Votre musique préférée ? 
Le Requiem de Mozart et Le petit bonhomme en mousse de Patrick Sébastien.  
 
Quel genre de téléspectateur êtes-vous ? Assez critique en général. J'utilise la mienne pour regarder des DVD. Sinon la télé, je fais comme tout le monde, je la regarde pour pisser dessus ! Avec ma chérie, on jette vraiment des objets sur la télé : des paquets de clopes dès que quelque chose ne nous plaît pas… À l'américaine ! Si on pouvait jeter des canettes de bières… Faut mettre un grillage… C'est une idée, comme ça je pourrais jeter des trucs en verre. J'aime bien : ça me permet d'exorciser les choses.  
 
Votre plus grande qualité ?  
La générosité. Je ne triche pas.  
 
Et votre pire défaut ?  
Un mélange d'angoisse, de perfectionnisme et colérique, mais un tout petit peu colérique ! Ma modestie, c'est aussi un grand défaut !  
 
La tenue vestimentaire impossible à porter ?  
Les affaires de ski ! ! Les "moonboots", les fuseaux. C'est atroce ! Je déteste ça. Les fringues de tennis aussi : le polo assorti au short, assorti aux chaussettes et au bandeau. Vraiment, le tennis, ça fait un peu trop ghetto.  
 
Le quotidien dans la rue pour vous, c'est quoi ?  
Ça a pu être parfois l'hystérie. Aujourd'hui, je me camoufle, je ne suis pas un grand fan des bains de foule. J'y vais discret. Les gens qui t'acclament, c'est toujours un peu grisant. Maintenant, c'est bien de remettre les choses à leur juste valeur : Michel Bouquet, quand il va en boîte personne ne lui saute dessus, ce qui n'est pas le cas de Jean-Pascal. Maintenant qui est le plus artiste des deux : Michel Bouquet ou Jean-Pascal ?  
 
Que retrouve-t-on régulièrement dans votre frigo ? 
Du "rien" ! Il est tout le temps vide. Peut-être, le même pot de moutarde présent depuis des lustres. Je ne fais jamais la cuisine. Pas le temps. Je suis du genre "nourriture à emporter". Ça tombe bien. Mon amie a le même régime que moi : on se nourrit de canettes de bières.  
 
Le meilleur moment de la journée ?  
La sieste entre 17 et 18 h : j'adore ça, c'est un vrai kif.  
 
Une vérité à rétablir ?  
J'ai souvent dit que mon vrai nom était Michaël Chirac. Ce n'est pas vrai ! J'ai menti. En fait mon vrai nom, c'est Michaël Raffarin et ma maman s'appelle Sarkozy.  
 
Avec qui vous a-t-on déjà confondu ?  
Avec un joueur du Real de Madrid ; quand je porte des lunettes avec Richard Gotainer et aussi avec Amanda Lear, mais je n'ai jamais compris pourquoi…  
 
Qu'est-ce qu'on ne vous entendra jamais dire ?  
Les gens m'adorent ! Quand tu commences à dire cela, ce n'est pas bon. La grosse tête n'est pas loin…  
 
Un vœu pour 2003 ?  
Tout pareil que 2002 ! En 2002, j'ai fait une émission qui a cartonné, un disque qui a cartonné, un film qui a cartonné et un spectacle qui cartonne. Pour les autres, j'offre à tous les gens qui lisent cet article une centaine de souhaits, comme ça, ils peuvent directement se souhaiter ce qu'ils veulent.  
 
Un mot à dire aux étudiants ?  
Ne lâchez pas la drogue et surtout ne touchez pas aux études ! 
FIN 
 
2/On connaissait son "côté fesse", mais on ignorait son "côté pile". 
Michaël Youn s'installe jusqu'en avril à la Cigale avec son premier spectacle "PLUSKAPOIL", à se poiler de rire. Tantôt Yang sur scène tantôt Yin en coulisse, non, Youn n'est pas un fou, il a le trac comme tout le monde. Les plus belles fesses de la télé nous accueillent chaleureusement dans les coulisses déglinguées de la Cigale après deux heures de déconnade et un strip-tease digne d'un chippendale.  
 
Pourquoi avoir quitté les Bratisla Boys ?  
Michaël Youn : Parce qu'ils étaient vraiment relous. Je n'en pouvais plus de ces types, de mettre une perruque, un costume. Les blagues qu'on a faites étaient déjà trop longues et il fallait bien que ça s'arrête un jour… Et puis on ne pensait pas qu'ils allaient avoir un tel succès, 1,5 million d'albums… Il fallait penser à autre chose.  
 
 
Justement, parle-nous d'Alphonse Brown.?  
C'est le héros du film "La Beuze". Je fais un petit pitch pour tes lecteurs.  
En 44, les nazis ont fabriqué une beuze transgénique, super forte. Ils l'ont mis dans les Lucky Strike des américains pour qu'ils soient défoncés quand ils débarqueront. Heureusement, ça n'a pas pu se faire. Elle est restée planquée dans un bunker en Normandie. En 2003, deux paumés du Havre, Scotbich Man et Alphonse Brown, que j'incarne, vont la retrouver. Par la suite, tout le monde va vouloir leur faire la peau. Je tiens à préciser qu'Alphonse est né 9 mois après le passage de James Brown à l'Olympia. Alphonse est certain d'être son fils, il a une tâche de naissance marron sur la cuisse. Il aime tellement le rap et le funk qu'il a créé le " Frunkp ".  
 
Où et comment as-tu écrit ton spectacle ??  
Je l'ai écrit dans le sud de la France mi-septembre, juste après la fin du tournage du film. J'ai mis 15 jours pour l'écrire et 15 jours pour le répéter. Ma chérie qui est comédienne, mon metteur en scène, mon pote et mon producteur m'ont aidé mais il est essentiellement écrit par moi et mon crâne déglingué.  
 
 
Parle-nous de ta première à la Cigale.?  
Euh… C'est hallucinant comme j'ai eu peur. J'avais joué en rodage la pièce à côté de Grenoble. J'ai eu le trac pendant 2 heures mais dès que je suis entré sur scène, les rires des gens m'ont vite libéré. En revanche, pour la première à Paris, le trac ne m'a pas lâché et ce, durant les deux heures du spectacle. J'avais la trouille à chaque fois que j'ouvrais la bouche. En plus, je suis un angoissé de nature, c'est pas évident mais je me soigne à la tronçonneuse.  
 
C'est tous les soirs différents ??  
Je joue depuis quatre soirs, et le public est toujours différent. Hier par exemple, c'était super relou car il y avait beaucoup de connards dans le public. Au moment où j'ai choisi une fille du public pour le "théâtre réalité" et où j'ai commencé à faire des trucs avec elle sur le matelas, son mec est monté sur scène en me balançant "Attends eh, avec toutes les nanas que tu pêchos, tu crois que tu vas pêchos ma meuf ? Allez viens, on va s'asseoir". Hallucinant ! J'ai tenté de le prendre à la cool en lui disant "Mais vous ne pouvez pas monter sur scène, monsieur, c'est mon spectacle", il continuait à m'agresser. Je ne pouvais pas finir mon spectacle avec ce mec, il allait me donner de mauvaises ondes. J'ai alors demandé au public s'il voulait qu'on sorte ce mec et la sécurité l'a viré. C'est pas cool, mais je ne me sentais pas de continuer ainsi. En plus, au balcon, il y avait une bande de mecs bourrés qui rigolaient à contre temps. Limite s'ils ne se foutaient pas de ma gueule. Résultat : je n'ai pas salué et j'ai pété deux chaises après le spectacle car je suis un peu capricieux.  
 
Tu ne peux pas t'empêcher de parler de sexe…?  
Bah non, je ne peux pas, c'est plus fort que moi, ça me poursuit. J'aime ma nana, et je suis inspiré. Mais je n'ai pas honte, Coluche parlait régulièrement de cul dans ses sketches.  
 
Tes parents sont venus te voir ??  
Bien sûr, ma mère est depuis quatre soirs dans les loges à me chouchouter. Elle me sèche les cheveux, me fait des massages. Et mon père répond à ma place lors des interviews, très décontracté le mec ! C'est l'entourage qui prend la grosse tête (rire) 
 
FIN 
(c) laura vendeville - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 12.12.2003
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